Image : Le ministre de la Défense, Prabowo Subianto, en meeting de campagne à Jakarta, le 10 février 2024. (Kim Kyung-Hoon/REUTERS)
Comme l’écrivait l’érudit et spécialiste de l’Asie du Sud-Est Benedict Anderson, il y a de cela quelque temps, les élections nationales sont parfois une réponse à une demande de participation ou à une crise politique, mais le plus souvent, elles servent à maintenir le statu quo politique. En Indo-Pacifique, elles oscillent entre ces deux pôles : permettre un changement de régime au service de la consolidation démocratique, ou constituer un rituel procédural qui donne un vernis de légitimité aux oligarchies politiques ou militaires.
Venez retrouver les pensées éclairés de Dominique Caouette et Yann Roche dans cet article disponible en format papier via LES GRANDS DOSSIERS DE DIPLOMATIE N° 78.