Image: Une foule de gens s’assemble pour regarder une conférence de presse télévisée du Parti de l’égalité et de la démocratie des peuples (Dem Parti, pro-kurde) à Diyarbakir, en Turquie, le 27 février. (© Sertac Kayar/ Reuters)

Cet article est rédigé par l’un de nos membres dans La Presse, Alexandre Lord, candidat à la maitrise en science politique à l’Université Laval, s’intéresse à la question kurde au Moyen-Orient et en Turquie à la suite de la dissolution du PKK.
« L’annonce de l’abolition du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK en turc) par son fondateur Abdullah Öcalan1 en a surpris plusieurs. Il reste trop tôt pour déclarer la paix en Turquie. »