Image: Un ouvrier transporte une charge de briques devant les drapeaux des pays participant à la Coupe du monde de football Qatar 2022, à Doha, le 25 octobre. Via, Le Devoir
Retrouvez la critique politique et sociale de l’organisation de la Coupe du Monde de la Fifa au Qatar publiée dans Le Devoir et écrite par notre chargé de projet Abdelouhab Benjelloun, étudiant à la maîtrise en affaires publiques et internationales à l’Université de Montréal.
« Depuis 2010, au Qatar, plus de 6500 âmes de travailleurs expatriés ont cessé de briller sur les chantiers afin de faire place au rayonnement des projecteurs de la Coupe du monde de 2022. À Doha, une réelle culture d’impunité continue d’avoir raison sur les efforts d’abrogation d’une forme d’esclavagisme moderne sans cesse déplorée : la kafala. Le 21 novembre prochain, 32 escadrons de footballeurs porteront le flambeau de leur pays à l’occasion de la 22e Coupe du monde. »