PLURALISME DÉMOCRATIQUE ET NORMATIVITÉ RELIGIEUSE EN INDONÉSIE

“Au cœur de l’Asie du Sud-Est, le processus de consolidation démocratique en Indonésie, pays à majorité
musulmane (14% de la population musulmane mondiale), est l’objet de tendances très complexes. Perçu d’une part par les chercheurs comme un exemple réussi de démocratisation, de résilience et d’inclusivité, il est aussi pour beaucoup, menacé par un tournant de radicalisme islamique”

Indonésie: diversité religieuse

Alexandre Desmyttère
Dans une interview captivante sur la radio VM, Alexandre Desmyttère, expert en études religieuses, lève le voile sur la complexité de la diversité religieuse en Indonésie. Plongez au cœur de ce pays aux mille îles, où coexistent harmonieusement de multiples croyances et pratiques spirituelles.

Kartini: la féministe indonésienne

Alexandre Desmyttère
À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, l’Observatoire des droits de la personne du CÉRIUM vous propose de survoler l’île de Java en Indonésie en vue de mettre à l’honneur Raden Adjeng Kartini. Peu connue en Occident, cette héroïne nationale indonésienne s’est battue pour les droits et libertés des femmes de son pays au XIXe siècle et est particulièrement reconnue pour ses revendications au sujet de l’accès des femmes à l’éducation. Ayant vécu à l’époque de la domination néerlandaise, Kartini est considérée comme une pionnière en matière de droits des femmes en Asie.

L’excision des filles en Indonésie, enjeu sociétal à travers le pays

Juliette Breton
Les mutilations génitales sont un enjeu majeur pour de multiples pays d’Afrique, du Moyen-Orient ou de l’Asie du Sud-Est. L’observation des mutilations génitales féminines en Indonésie est particulièrement importante, car en plus de se différencier des pratiques d’autres régions, l’évolution des pensées et la médiatisation de l’enjeu viennent changer la donne sur le sort que subiront les femmes.  

Jakarta, victime de la montée des eaux

Stéphane Lefèvre
Les annonces du troisième rapport du Groupe intergouvernemental sur les changements climatiques (GIEC) nous apportent de terribles nouvelles. Selon le GIEC, il ne reste plus que trois ans pour réduire de moitié les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030, sans quoi il sera impossible de rester sous la barre des 1,5 degrés de réchauffement pour 2100. C’est possible, mais il faut agir en moins de trois ans, avant 2025, sans quoi les conséquences seront irréversibles.